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   Retrouvez toutes les enseignes liégeoises en pierre sculptée dans une superbe brochure (à découvrir).

 Les enseignes de la rive gauche

À LA MAIN D'OR – 1729
Place du Marché, 30.
Découverte dans les décombres après le bombardement du 21 novembre 1944, l'enseigne a été reconstituée et replacée dans la nouvelle façade.
Inscription : 17  A LA MAIN D'OR  29

AU CHEVAL D'OR
Rue des Mineurs, 6.
Au XVIIIe siècle, cette enseigne a remplacé celle du FAUCON.
Anépigraphe.
AU LION D'OR – 1743
Rue des Mineurs, 13.
Seule l'inscription subsiste.
Inscription : [AU] LION D'OR  1743
AU FER DU CHEVAL – 1752 (deplacée)
Rue des Mineurs, 17.
Provient de la rue des Tanneurs, 2. La façade entière a été déplacée.
Inscription : AU FER DU CHEVAL / 17 / 52
PERRON
Rue des Mineurs, 21.
Anépigraphe.
BON LOGIS (deplacée)
Cour des Mineurs.
Enseigne d'une ancienne auberge de la place Hocheporte. La maison a été détruite le 8 septembre 1944 par l'explosion d'un tank.
Inscription : BON LOGIS
À L'ESPINET – 1665 (deplacée)
Cour des Mineurs.
Provient d'un cabaret situé au coin de la rue Delfosse.
Inscription : 16 / 65 / A L'ESPINET
CORNET DE POSTE (déplacée)
Impasse des Ursulines.
Cette enseigne provient de la rue Saint-Jean-Baptiste, 11.
Elle ornait l'ancien relais de poste qui a été remonté dans l'impasse des Ursulines (il abrite maintenant les bureaux du musée d'Art religieux et d'Art mosan). Une autre dalle, sur la même façade, a été martelée ; elle devait porter le blason du comte Lamoral de la Tour et Taxis, grand maître de poste au XVIIe siècle.

Anépigraphe.


Reproduction d'une ancienne photographie.

AU POT D'OR (déplacée)
Impasse des Ursulines.
Provient du quai de la Goffe, 27.
La maison a été démolie en 1957.
L'enseigne a été photographiée en 1956 (ci-contre).

Il ne reste qu'un fragment de l'enseigne inséré dans un mur.
Inscription : [AU] POT D'OR
PERRON – 1756 (déplacée)
Impasse des Ursulines.
Provient du quai de la Goffe, 14. La maison a été démolie en 1957.

L'enseigne est endommagée. Elle est insérée dans un mur.
Inscription : 17 / 56

ANGE (déplacée)
Impasse des Ursulines.
Elle proviendrait probablement du quai de la Goffe.
Il ne reste qu'un fragment de l'enseigne inséré dans un mur.

SAINT PIERRE (replacée)
Rue Hors-Château, 6.
Anépigraphe.
RUCHE & HURE – 1680
Rue Hors-Château, 9.
Inscription : 16 / 80

AU LION BLANC – 1736
Rue Hors-Château, 33.
Déjà au XVe siècle, une brasserie installée en Hors-Château, près de la rue de la Rose, avait choisi le LION BLANC pour enseigne. Le lion a été supprimé.
Inscription : 17  AU LION BLANC  36

À LA TÊTE D'OR – 1750
Rue Hors-Château, 39.
Inscription : 17 / 50 / A LA TETE D'OR

À L'ANGE D'OR – L'AN 1759
Rue Hors-Château, 45.
Cette enseigne est à l'origine du nom de l'impasse de l'Ange.
Inscription : 17  A L'ANGE D'OR L'AN  59

CAVALIER
Rue Hors-Château, 57.
Inscription : « Au Champion, teinturier en soye et en laines ».
À L'ANNEAU D'OR
Rue Hors-Château, 104.
Inscription : A L'ANNEAU D'OR
AU CHÂTEAU DE BOUILLON BRASSINNE – ANNO 1748
Rue Hors-Château, 110.
Bas-relief de l'ancienne brasserie Mottard jadis installée à cet endroit.
Inscription : ANNO / 1748 / AU CHATEAU DE BOUILLON BRASSINNE
CHAT – 1920
Rue des Brasseurs, 3.
Bas-relief moderne.
Inscription : 19 / 20
À L'ÉTOILLE D'OR
Rue Saint-Thomas, 24.
Inscription : A L'ETOILLE D'OR
Inscription – 1897
En Féronstrée, 6.
L'inscription rappelle la mort de l'empereur Henri IV (1106). Elle a remplacé une enseigne plus ancienne, aujourd'hui déposée au musée de la Vie wallonne (voir rubrique des enseignes déposées).
Inscription : 1897 / AMIS DU VIEUX LIEGE / ICI EST MORT / LE 7 AOUT 1106 / HENRY IV EMPEREUR
À L'HOMME SAUVAGE – 1752
En Féronstrée, 146.
Ce sujet était présent dans différents quartiers de la ville.
Inscription : 17 / 52 / A L'HOMME SAUVAGE

Écusson avec un PERRON
Ancienne halle aux viandes, rue de la Goffe.
Ce motif était l'emblème de la corporation des mangons (bouchers).
Anépigraphe.

Au-dessus de l'écusson, on peut lire l'inscription suivant relative à la constrauction de la halle :
En / la [nnée] / XV / et / XLV / fut / edifie / cest / edifis – En l'année 1545 fut édifié cet édifice.

AU FAIR DE CHEVAL – 1691 (replacée)
Quai de la Goffe, 1.  
Jadis demeure de Beauregard, la maison devint, au début du XVIIe siècle, celle du FAIR DE CHEVAL. Le bâtiment a été renouvelé en 1919 et l'enseigne a été replacée sur la façade.
Inscription : AU FAIR DE CHEVAL  1691

À L'ENCLUME D'OR – 1691
Quai de la Goffe, 3.
Au XVIIIe siècle, cette enseigne désignait la maison Galler où se vendaient des produits de Hollande et des métaux.
Inscription : 1691

À LA CORNE DE SERF – 1691
Quai de la Goffe, 5.
La partie inférieure de l'enseigne a été détruite au début du XXe siècle.
Inscription : A LA CORNE DE SERF  1691
AU CANON D'OR
Quai de la Goffe, 7.
Inscription : AU CANON D'OR
AUX 3 CYGNES
Quai de la Goffe, 9.
L'enseigne a été reconstituée récemment lors de la restauration des maisons du quai. Elle avait été sacrifiée lors de la construction d'un oriel en 1905. Il s'agit d'une nouvelle enseigne sur le même thème, et non pas d'une copie fidèle de l'enseigne originale comme le montre le dessin ci-contre.
Inscription : AUX 3 CYGNES
AU MOUTON NOIR – 1720
Rue du Pont, 9.  
En 1791, la maison était occupée par un cabaretier ; au XIXe siècle par un mercier.
Inscription : 17 AU MOUTON NOIR 20

AU PERON DOR – 1687
Rue du Pont, 19.
En 1687, la maison était occupée par le boulanger Paulus. Malheureusement, l'enseigne a subi un acte de vandalisme puisqu'elle a été endommagée par le support d'une enseigne lumineuse enlevée en 2006.
Inscription : 1687 / L / G / AU PERON DOR

AU COQ D'OR
Rue du Pont, 25.
Inscription : AU COQ D'OR

Deux bas-reliefs : deux épées croisées et un Saint-Esprit
Rue du Pont, 43.
Durant très longtemps, le Saint-Esprit, enseigne du XVIIIe siècle, a été éclipsée par un panneau de bois peint. Les CINQ BOULES avaient alors remplacé le SAINT-ESPRIT dans la désignation de la maison.
Depuis 1960, la vieille enseigne en pierre est dégagée et à nouveau visible.

Anépigraphe.
À LA TÊTE D'OR
Rue de l'Épée, 12.
Inscription : A LA TÊTE D'OR
TÊTE D'HOMME
Rue du Stalon, 11.
Anépigraphe.
À LA FONTAINE D'OR – 1732
Rue Neuvice, 27.
Cette maison était occupée par des marchands de toile.
Anépigraphe.
À LA CROIX BLANCHE
Rue Neuvice, 31.
Il ne subsiste qu'un fragment de l'enseigne (partie supérieure). Au XVIIe et XVIIIe siècles, la maison était désignée À LA CROIX BLANCHE.
Anépigraphe.
AU MARTEAU D'OR CORONÉ
Rue Neuvice, 43.  
Déjà citée en 1440, la maison a donné, en 1552, son nom au propriétaire : Baudouin du Marteau.
Inscription : AU MARTEAU D'OR CORONE
À L'ARBRE D'OR
Rue Neuvice, 45.
Maison occupée au XVIIIe siècle par Bassompierre père, imprimeur du prince-évêque et marchand libraire.
Anépigraphe.
AU MORIANE
Rue Neuvice, 55.  
Important immeuble où habitait l'imprimeur Bassompierre fils à la fin du XVIIIe siècle.
Inscription : AU MORIANE
À LA ROSE D'OR
Rue Neuvice, 58.
La maison appartenait à des marchands en mercerie.
Anépigraphe.
AUX JARDINS DES OLIVETTES – 1695
Rue Pied-du-Pont-des-Arches, 6.  
La partie centrale de l'enseigne a été martelée à la Révolution. Elle montrait les Rois Mages. La dénomination actuelle était attachée à une maison voisine. Elle a été reprise vers 1950.
Inscription : AUX JARDINS DES OLIVETTES - 1695
À LA † D'OR
Rue Cathédrale, 20.
L'enseigne a donné son nom au propriétaire : La Croix.
Inscription : A LA † D'OR
GLAND
Rue Souverain-Pont, 12.
Cette enseigne avait été cachée par un panneau. Elle est à nouveau visible.
Anépigraphe.
SATYRE
Rue Souverain-Pont, 31.
Cette enseigne avait été cachée par un panneau. Elle est à nouveau visible mais abîmée.
Anépigraphe.
À L'ANNEAU D'OR – 1754
Rue Donceel, 10.
L'enseigne orne la façade remarquablement restaurée d'un très bel immeuble du XVIIIe siècle.
Inscription : ANNO / 1754 / A L'ANNEAU D'OR
LYS – 1692
Rue de la Wache, 2.
Cette enseigne distinguait la maison de LA FLEUR DE LYS BLANCHE, de sa voisine dite de LA PETITE FLEUR DE LYS.
Inscription : 16 / 92
  AU PARADIS TERRESTRE
Rue Gérardrie, 25.
Adam et Eve entourent l'Arbre de la science du Bien et du Mal sur lequel s'enroule le serpent tentateur. Dès le XVIe siècle, la famille de libraires et imprimeurs Hovius s'établit en Gérardrie. Cette enseigne a été reproduite par les Hovius, comme marque distinctive, sur les ouvrages imprimés.
De part et d'autre de l'enseigne figurent les armoiries des familles Hovius et Streel.

Inscription : AU PARADIS / TERRESTRE
CLEF
Rue Sainte-Croix.  
Dans la cour derrière le chevet de la collégiale. La pierre se trouve au-dessus de la porte du cloître.
Anépigraphe.
ANNEAU SUSPENDU
Rue Saint-Hubert, 49.
Claveau central d'une arcade en façade.
Anépigraphe.
AU CIGNE – 1690
Rue du Pont-d'Île, 41.
Inscription : AU CIGNE  1690

PERRON – ANNO 1755 – R.P.L.G.
Vinâve d'Île, 15.
Linteau surmontant l'entrée de l'ancienne ruelle des Cailloux qui reliait le Vinâve d'Île à la rue Lulay-des-Fébvres.
Inscription : AN / R / P / NO / 17 / L / G / 55

POT D'OR (reconstituée)
Rue du Pot-d'Or, 22.  
La rue du Pot-d'Or s'appelait autrefois rue du Laveur ou du Lavoir. Déjà au XVe siècle, la maison sise à l'angle de la rue Saint-Adalbert, était citée sous la dénomination du Pot d'Or. L'enseigne est insérée dans le claveau central de la porte d'entrée. Depuis quelques siècles, elle a donné son nom à la rue. La maison actuelle a remplacé celle où habitait le bourgmestre Sébastien Laruelle. L'enseigne avait été supprimée, elle a été reconstituée lors de la restauration de la maison.
Anépigraphe.
SALAMANDRE
Rue Pont-d'Avroy, 3.
Enseigne du début du XXe siècle.
Anépigraphe.
POULE
Rue Pont-d'Avroy, 15.
Cette enseigne du début du XXe siècle orne une maison construite par un marchand d'œufs lors de l'élargissement de la rue.
Anépigraphe.
SATYRE – 1767
Rue Saint-Paul, 27-31.

Située sur le claveau central de l'arc surmontant l'entrée principale. L'édifice est l'ancien hôtel de Clerx ; il est daté de 1767 sur le blason situé au-dessus de l'entrée.
Anépigraphe.

AU DRAGON D'OR – 1738 (replacée)
Rue Saint-Paul, 42.
Cette enseigne ornait une petite maison démolie en 1947. Elle a été replacée, sans l'inscription, sur la façade du nouvel immeuble élevé au même emplacement.
Anépigraphe.
Une photographie prise en 1945 par l'IRPA montre l'enseigne dans son état d'origine.
Cliquez ici pour voir la photographie.

PERRON – L G – 1592 (deplacée)
Rue Saint-Remy, 10.
L'enseigne est insérée dans un mur à l'entrée de la cour Saint-Remy.
Cet emblème provient de la porte Saint-Martin ou du rempart proche de celle-ci.
Avant d'être transférée à son emplacement actuel, la pierre avait d'abord été insérée dans un mur au 4 de la rue des Bégards.

Inscription : L / G / 15 / 92
À LA TOUR – 1761 (deplacée)
Rue Saint-Remy, 10.
L'enseigne provient d'une maison détruite au 86 en Féronstrée. Elle a été replacée sur une façade restituée dans le fond de la cour Saint-Remy.
Inscription : 17 / 62 / A LA TOUR
ANNEAU (replacée)
Rue Sur-la-Fontaine, 98.
L'enseigne se trouvait sur la façade d'une résidence patricienne du XVIIIe siècle dont le porche donnait accès à une cour où se voyait une dalle armoriée de la famille de Clerx d'Aigremont. La maison a été démolie pour la construction du parking. L'enseigne et la dalle armoriée ont été insérées dans la façade en béton du parking.
Anépigraphe.
AU CROISSANT
Rue Sur-la-Fontaine, 114.
Un croissant de lune au milieu d'un lacis d'entrelacs.
Sur une belle façade Louis XVI, au-dessus de la porte d'entrée.
Cette enseigne désignait l'ancienne brasserie du croissant.

Inscription : AU CROISSANT
AU SOLEIL D'OR – 1739
Rue Saint-Gilles, 61.
Inscription : AU SOLEIL D'OR  1739
ARDOISIER – LD – 1896
Rue Saint-Gilles, 196.
La façade présente une autre pierre avec le millésime 1896.
La maison fut bâtie pour le maître ardoisier L. Dupagne, dont les initiales sont gravées de part et d'autre des outils. On peut y voir un marteau d'ardoisier caractérisé par une tête frappante et, à l'opposé, une pointe qui permet de trouer les ardoises. L'autre outil est une enclume d'ardoisier formée par une barre au milieu de laquelle se détache une grosse épine incurvée faisant corps avec la barre. Sur la toiture à couvrir, l'épine est enfoncée dans une panne ou dans un chevron, tandis qu'une extrémité de la barre repose sur la même pièce de bois. L'enclume est ainsi fixée et le couvreur y pose l'ardoise qu'il désire tailler au moyen du marteau décrit en premier lieu.

Inscription : L / D

SAINT MARTIN
Mont Saint-Martin, basilique Saint-Martin.
L'enseigne est visible, côté rue, sur la basilique Saint-Martin.
Martin, en officier romain sur son cheval, partage son manteau avec un pauvre.

Anépigraphe.

SAINT MARTIN (déplacée)
Mont Saint-Martin, 62B.
L'enseigne est située sur le pignon d'un bâtiment ; elle n'est pas visible depuis la rue.
Martin, en officier romain sur son cheval, partage son manteau avec un pauvre.

Anépigraphe.
PERRON (déplacée)
Rue Fond-Saint-Servais.
L'enseigne est placée dans le mur jouxtant le chœur de l'église Saint-Servais.
Origine incertaine.

Anépigraphe.
À L'ANNEAU D'OR
Rue Pierreuse, 24.
Anépigraphe.
AU LION ROUGE
Rue Pierreuse, 30.
En 1503, cette maison était déjà connue sous cette enseigne. En 1770, la maison est occupée par Fois Ponsin, marchand de soieries et de velours d'Italie.
Inscription : AU LION ROUGE
AU STRIVAI – 1713
Rue Pierreuse, 32.
L'inscription est aujourd'hui indéchiffrable (on y lit «17 AU_ TRIV__ 3»), mais Eugène Polain l'avait relevée au début du XXe siècle. En wallon liégeois, strivê ou struvê est une pelle de bois dont on se sert pour remuer le blé ou le charbon de bois.
Inscription : 17 AU_ TRIV__ 3
A MOLIN D'OR
Rue Pierreuse, 34.
Autrefois, la rue Pierreuse était très fréquentée et comptait de nombreux hôtels dont celui de la Roue de Moulin.
Inscription : A MOLIN D'OR
À LA COURONNE DE FER – 1757
Rue Pierreuse, 71.  
La couronne a été martelée.
Inscription : 17  A LA COURONNE DE FER  57
HOMME SAUVAGE (déplacée)
Rue du Péry, 41.
Cette enseigne provient de la rue Puits-en-Sock. Après avoir été longtemps reléguée dans une cour de la place Jehan-le-Bel, elle a trouvé sa place au Péry en 1960.
Anépigraphe.
À LA FOLIE ORIGINELLE – 1706
Rue Hocheporte, 33.
Enseigne à caractère humoristique : un meunier sur un cheval porte un lourd sac de farine sur son épaule. Le comble de la folie ou de la distraction, évidemment !
L'inscription mentionne que l'enseigne a été réalisée en 1706 et réparée en l'an 1716.

Inscription : 17  A LA FOLIE ORIGINELLE  06 / REPARE L'AN 1716
AU LION D'OR – 1757 (déplacée)
Rue de Campine, 232.
À l'origine, l'enseigne désignait une maison du Fond-Pirette, démolie en 1871 lors de la création de la rue de Campine.
Inscription : AU LION / D'OR  1757
TRIPTYQUE – 1601 (déplacée)
Rue du Calvaire, 86.
Cette pierre montre la Vierge entourée de saint Sébastien à gauche et de saint Lambert à droite. Elle provient de la confrérie des arbalétriers de Glain. Après avoir longtemps figuré entre deux maisons de la rue du Calvaire, elle fut retrouvée dans une cave et replacée sur une nouvelle façade.
Inscription : S. SEB. / 1601 / S. LAMB.
PERRON – 1753
Place Coronmeuse, 39 (anciennement rue Saint-Léonard, 653).
Cette enseigne au perron liégeois marquait la limite du territoire liégeois où se trouvait l'octroi.
Inscription : L / G
AU CHÂTEAU DE STOCKHEM (déplacée)
Rue du Thier-à-Liège, 95.
Lors des transformations du quartier de la Madeleine vers 1875, cette enseigne provenant de la rue Sous-la-Tour, a été transférée au Thier-à-Liège. Elle est située dans le bas d'un mur de soutènement (ce qui ne contribue pas à une bonne conservation).
Inscription : AU CHATEAU DE STOCKHEM


À voir aussi : les enseignes de la rive gauche
les enseignes de la rive droite
les enseignes déposées
les enseignes disparues
quelques autres enseignes...

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Photos : Fabrice MULLER.

 
     
 

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Date de création de la page : 08-2004 – Dernière modification : 6-07-2016 .